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Le goût des myrtilles

(Code: 31259)
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Le goût des myrtillesUn roman sur les drames et l'hypocrisie de notre époque, plein d'humour, avec une pointe d'espérance.

Père Jean-François Thomas, s. j.

Ce récit inspiré par l’expérience du père Jean-François Thomas auprès des enfants des rues philippins met d’abord l’accent sur l’héroïsme au quotidien d’un jeune adolescent, Darwin, qui vécut en chair et en esprit l’épreuve de la Croix, au pied du tabernacle, jusqu’à sa mort. L’autre thème abordé est celui de nos sociétés et de l’Église, prisonnières de l’Humain !

À partir des complexités du monde philippin, c’est à une réflexion sur la corruption, l’athéisme, le carriérisme ecclésiastique, le déclin du courage et les ravages du modernisme que nous invite l’auteur blessé jusqu’à l’âme par l’éclipse du sacré, le règne de Mammon et surtout la guerre planétaire déclarée à Jésus-Christ, à la famille traditionnelle autant qu’à l’esprit d’enfance et de sainteté.

Il faudra bien qu’à l’issue du châtiment qui s’annonce contre l’apostasie moderne jaillisse du fond des consciences ce réveil de la grâce capable de redonner joie et maintien à l’humanité moderne.

Le père Jean-François Thomas, né en 1957, est prêtre jésuite et professeur de philosophie. Il fut pendant quinze ans missionnaire à Manille où il se consacra à la sauvegarde des enfants des rues. rues. De retour en France, il a écrit "le goût des myrtilles" publié chez Via Romana, et "chaque choses belles en son temps", chez DMM.

11 x 16 cm - 462 pages - Editions Via Romana

A partir de 16 ans

La Presse en parle : A.F.S Action Familiale et scolaire, n°261

Avec son nouveau roman Le goût des myrtilles, le Père JF. Thomas (sj.), convie notre société à faire son examen de conscience.

Son héros, Darwin, est un enfant des rues philippin atteint d’une myopathie paralysante, rencontré au cours de son apostolat. Adopté en France par des parents très chrétiens qui l’aiment profondément, il va vivre avec eux des joies immenses au « goût de myrtilles », puis le calvaire de sa maladie, jusqu’à sa mort inéluctable.

Tout devrait attirer nos contemporains dans cet enfant : son origine misérable, sa couleur de peau, son handicap. Et pourtant, il est rejeté : le combat dans lequel il est engagé avec ses parents, n’a en effet pas lieu selon les standards d’une société qui accepte tout, y compris les plus grands dérèglements moraux, sauf la souffrance. Or c’est justement dans l’acceptation amoureuse de celle-ci que se trouve le chemin de la douceur et de la paix. Le Père Thomas nous y conduit.

Il débusque sans concession les grandes hypocrisies de notre bien-pensance, éducative, médiatique, politique, médicale, cléricale. Son style très riche nous révèle les diverses facettes de l’âme humaine prisonnière des démons de l’orgueil et du matérialisme. Il sait être très critique, voire féroce, mais aussi d’une grande délicatesse de sentiment. Le combat final pour faire échapper Darwin à l’euthanasie programmée est d’une élévation d’esprit toute particulière. Mais – le Père Thomas en convient – ce cas reste bien isolé. Notre société devenue « lisse » et « sans rides », « calmée par des privilèges ajoutés », ne semble pas encore prête à comprendre la nécessité de choisir la vie. (MP. Deswarte)